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1/12/2022
Venez chercher la Flamme de Bethleem à Namur le 13/12
Comme chaque année depuis plus de 35 ans, une lumière est allumée dans la Grotte de la Nativité à Bethléem et partagée en relais à travers l'Europe comme symbole de paix. Mais pourquoi pas un bisou, une poignée de main ou du vin chaud ? Voici pourquoi nous vous invitons à venir chercher cette flamme à l’église Saint-Joseph de Namur le 13 décembre à 19h et pourquoi la partager, vous aussi, à votre tour.
Avez-vous déjà essayé de partager une flamme, de la diffuser ou de la transmettre ? Si nous en comprenons l’idée, aucun de ces mots n’est tout à fait ajusté. Partager signifie donner une partie, diffuser implique une perte de puissance et transmettre a des conséquences bien différentes si l’on parle de matériel ou d’immatériel, mais en général on souhaite qu’il n’y ait aucune modification.
Faisant écho à ce que pourrait être la foi ou l’amour de Dieu, cette flamme allumée à Bethléem, nous invite à explorer l’idée de propagation.

1. Qu’est-ce qu’une flamme ?
Tout le monde en a une vague idée. C’est une réaction chimique, une réorganisation de la structure du combustible. Est-ce si différent pour la foi ? Notre foi est une réaction à l’amour de Dieu. Qui dit réaction, dit réorganisation ou dans notre cas conversion.

2. Quelle en est la source ?
Pour la flamme, c’est la Grotte de la Nativité. Il en est de même pour notre foi. Car si l’amour de Dieu précède l’an zéro, c’est bien à ce moment qu’il s’incarne dans toute sa folie.

3. Pour qui ? Chacun avec ses spécificités. Une flamme sera tantôt verte, bleue, rouge ou jaune en fonction de ce qui l’anime. Que l’on soit pratiquant occasionnel, militant ou encore charismatique, ce geste nous invite à montrer que nous brulons du même amour.

4. Pour quoi faire ? On peut évidemment vivre sans. À première vue, ni ce geste ni la foi n’ont d’utilité. Néanmoins, l’un comme l’autre ouvrent à l’invisible. Et avec ce regard-là, cela change tout.

5. Comment faire ? Pour pouvoir allumer une flamme, certaines conditions sont nécessaires comme un minimum d’énergie. Et si cette flamme permettait à son tour de mettre en place un environnement de prédisposition à l’amour de Dieu ?

Être propagatrices et propagateurs de l’amour de Dieu ne semble finalement pas si compliqué et pourtant si essentiel. Sans propagation, la flamme initiale aurait bien du mal à transmettre sa chaleur, à diffuser sa lumière ou à partager son énergie. L’amour de Dieu a aussi besoin de gestes simples, aussi simples que d’allumer une bougie ; l’amour de Dieu a besoin de vous.

Rendez-vous vous est donné le 13 décembre, à 19h, à l'église Saint-Joseph de Namur.



Plus d’infos : www.church4you.be/namur-lux/news/flamme

Olivier Caignet
Pour le Service Jeunes
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