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27/5/2016
Le monde de la santé réuni à Beauraing sous le signe de la miséricorde
En cette Année de la miséricorde, nous sommes invités plus que jamais à nous mettre au service des plus fragilisés. Le monde de la santé est le milieu par excellence où se pratiquent les petits et les grands gestes de miséricorde. Malades et soignants, personnes handicapées et âgées, proches et visiteurs, accompagnateurs bénévoles et professionnels se sont retrouvés les 24 et 25 mai à Beauraing pour deux journées de jubilé.
Mardi 24 mai, mercredi 25 mai, l’abbé Philippe Coibion, vicaire épiscopal responsable de la Pastorale de la santé, accueille les participants: personnes atteintes par la maladie, le handicap, le grand âge… de même que tous ceux qui sont engagés à leurs côtés. Mardi 24 mai, mercredi 25 mai, l’abbé Philippe Coibion, vicaire épiscopal responsable de la Pastorale de la santé, accueille les participants: personnes atteintes par la maladie, le handicap, le grand âge… de même que tous ceux qui sont engagés à leurs côtés.

Mardi 24 mai, mercredi 25 mai, l’abbé Philippe Coibion, vicaire épiscopal responsable de la Pastorale de la santé, accueille les participants: personnes atteintes par la maladie, le handicap, le grand âge… de même que tous ceux qui sont engagés à leurs côtés.

Première étape de la journée, la procession vers la basilique. Une procession emmenée par l’abbé Chris Butaye, chapelain aux Sanctuaires, qui a expliqué au préalable la signification des démarches qui allaient suivre: le passage de la Porte sainte et le signe de la croix. Première étape de la journée, la procession vers la basilique. Une procession emmenée par l’abbé Chris Butaye, chapelain aux Sanctuaires, qui a expliqué au préalable la signification des démarches qui allaient suivre: le passage de la Porte sainte et le signe de la croix.

Première étape de la journée, la procession vers la basilique. Une procession emmenée par l’abbé Chris Butaye, chapelain aux Sanctuaires, qui a expliqué au préalable la signification des démarches qui allaient suivre: le passage de la Porte sainte et le signe de la croix.

Passer la Porte sainte, c’est entrer dans la vie du Christ afin d’être transformé par lui, c’est aussi ouvrir la porte de nos vies aux malades, aux isolés… Tracer le signe de la croix, c’est redire au Seigneur que nous lui appartenons, c’est affirmer que nous faisons partie du peuple de Dieu. Passer la Porte sainte, c’est entrer dans la vie du Christ afin d’être transformé par lui, c’est aussi ouvrir la porte de nos vies aux malades, aux isolés… Tracer le signe de la croix, c’est redire au Seigneur que nous lui appartenons, c’est affirmer que nous faisons partie du peuple de Dieu.

Passer la Porte sainte, c’est entrer dans la vie du Christ afin d’être transformé par lui, c’est aussi ouvrir la porte de nos vies aux malades, aux isolés… Tracer le signe de la croix, c’est redire au Seigneur que nous lui appartenons, c’est affirmer que nous faisons partie du peuple de Dieu.

Les stations du chemin de croix étaient animées par des groupes différents. Les visiteurs de malades de Bastogne ont médité sur la figure de Simon de Cyrène. ''<i>Pardon Seigneur pour tous ceux que je n’ai pas voulu aider. Merci pour ceux que j’ai aidés en ton nom ou qui m’ont aidé</i>''. Les stations du chemin de croix étaient animées par des groupes différents. Les visiteurs de malades de Bastogne ont médité sur la figure de Simon de Cyrène. ''<i>Pardon Seigneur pour tous ceux que je n’ai pas voulu aider. Merci pour ceux que j’ai aidés en ton nom ou qui m’ont aidé</i>''.

Les stations du chemin de croix étaient animées par des groupes différents. Les visiteurs de malades de Bastogne ont médité sur la figure de Simon de Cyrène. ''Pardon Seigneur pour tous ceux que je n’ai pas voulu aider. Merci pour ceux que j’ai aidés en ton nom ou qui m’ont aidé''.

En début d’après-midi, les pèlerins venant des maisons de repos arrivent à Beauraing pour vivre le jubilé. Ils sont accompagnés par des bénévoles ou des membres du personnel. En début d’après-midi, les pèlerins venant des maisons de repos arrivent à Beauraing pour vivre le jubilé. Ils sont accompagnés par des bénévoles ou des membres du personnel.

En début d’après-midi, les pèlerins venant des maisons de repos arrivent à Beauraing pour vivre le jubilé. Ils sont accompagnés par des bénévoles ou des membres du personnel.

''Marie, Mère de miséricorde à Beauraing'', le thème de la conférence spirituelle donnée par l’abbé Christophe Rouard. Une conférence ''pour contempler les dons reçus de Dieu et apportés à Beauraing par la Vierge Marie''. ''Marie, Mère de miséricorde à Beauraing'', le thème de la conférence spirituelle donnée par l’abbé Christophe Rouard. Une conférence ''pour contempler les dons reçus de Dieu et apportés à Beauraing par la Vierge Marie''.

''Marie, Mère de miséricorde à Beauraing'', le thème de la conférence spirituelle donnée par l’abbé Christophe Rouard. Une conférence ''pour contempler les dons reçus de Dieu et apportés à Beauraing par la Vierge Marie''.

La ''voie royale'' que Dieu utilise pour aider ses enfants, c’est la charité que les hommes et les femmes exercent les uns pour les autres. ''<i>Dieu préfère travailler avec notre amour et celui de Marie que tout seul</i>'', dira l’abbé Rouard. La ''voie royale'' que Dieu utilise pour aider ses enfants, c’est la charité que les hommes et les femmes exercent les uns pour les autres. ''<i>Dieu préfère travailler avec notre amour et celui de Marie que tout seul</i>'', dira l’abbé Rouard.

La ''voie royale'' que Dieu utilise pour aider ses enfants, c’est la charité que les hommes et les femmes exercent les uns pour les autres. ''Dieu préfère travailler avec notre amour et celui de Marie que tout seul'', dira l’abbé Rouard.

Lors de l’eucharistie, l’évangile selon saint Marc (2,1-12) raconte l’histoire de ce paralysé que des gens amènent à Jésus. ''<i>Heureusement qu’il y a des gens qui portent cet homme</i>'', dira Mgr Vancottem. ''<i>Que serions-nous, seuls, isolés, sans le soutien des autres?</i>'' Lors de l’eucharistie, l’évangile selon saint Marc (2,1-12) raconte l’histoire de ce paralysé que des gens amènent à Jésus. ''<i>Heureusement qu’il y a des gens qui portent cet homme</i>'', dira Mgr Vancottem. ''<i>Que serions-nous, seuls, isolés, sans le soutien des autres?</i>''

Lors de l’eucharistie, l’évangile selon saint Marc (2,1-12) raconte l’histoire de ce paralysé que des gens amènent à Jésus. ''Heureusement qu’il y a des gens qui portent cet homme'', dira Mgr Vancottem. ''Que serions-nous, seuls, isolés, sans le soutien des autres?''

Celles et ceux qui le souhaitaient ont pu recevoir le sacrement des malades. Sacrement qui accorde en premier lieu un don particulier de l’Esprit Saint, un don de réconfort, de paix et de courage pour vaincre les difficultés propres à l’état de maladie ou de vieillesse. Celles et ceux qui le souhaitaient ont pu recevoir le sacrement des malades. Sacrement qui accorde en premier lieu un don particulier de l’Esprit Saint, un don de réconfort, de paix et de courage pour vaincre les difficultés propres à l’état de maladie ou de vieillesse.

Celles et ceux qui le souhaitaient ont pu recevoir le sacrement des malades. Sacrement qui accorde en premier lieu un don particulier de l’Esprit Saint, un don de réconfort, de paix et de courage pour vaincre les difficultés propres à l’état de maladie ou de vieillesse.

La célébration de ce sacrement se poursuit par l’onction de l’huile. Consacrée par l’évêque lors de la messe chrismale, l’huile apporte force et douceur. La célébration de ce sacrement se poursuit par l’onction de l’huile. Consacrée par l’évêque lors de la messe chrismale, l’huile apporte force et douceur.

La célébration de ce sacrement se poursuit par l’onction de l’huile. Consacrée par l’évêque lors de la messe chrismale, l’huile apporte force et douceur.

Le sacrement des malades est au service de la vie du malade. Dieu y offre son réconfort et sa force. Il est signe de la tendresse de Dieu pour la personne qui souffre. Il s’adresse spécifiquement aux personnes fragilisées dans leur santé. Le sacrement des malades est au service de la vie du malade. Dieu y offre son réconfort et sa force. Il est signe de la tendresse de Dieu pour la personne qui souffre. Il s’adresse spécifiquement aux personnes fragilisées dans leur santé.

Le sacrement des malades est au service de la vie du malade. Dieu y offre son réconfort et sa force. Il est signe de la tendresse de Dieu pour la personne qui souffre. Il s’adresse spécifiquement aux personnes fragilisées dans leur santé.

Des mots accompagnent l’onction: ''<i>Par cette onction sainte, que le Seigneur en sa grande bonté vous réconforte par la grâce de l’Esprit Saint. Ainsi, vous ayant libéré de tous péchés, qu’il vous sauve et vous relève</i>.'' Des mots accompagnent l’onction: ''<i>Par cette onction sainte, que le Seigneur en sa grande bonté vous réconforte par la grâce de l’Esprit Saint. Ainsi, vous ayant libéré de tous péchés, qu’il vous sauve et vous relève</i>.''

Des mots accompagnent l’onction: ''Par cette onction sainte, que le Seigneur en sa grande bonté vous réconforte par la grâce de l’Esprit Saint. Ainsi, vous ayant libéré de tous péchés, qu’il vous sauve et vous relève.''

Le diacre Jean-Paul Noël, membre de l’équipe des visiteurs de malades d’Athus, donne le départ de la procession des offrandes. Outre le pain et le vin, des objets symboliques témoignent de nos misères: du matériel de soin, un tablier blanc, une béquille et la pyxide du visiteur de malades. Le diacre Jean-Paul Noël, membre de l’équipe des visiteurs de malades d’Athus, donne le départ de la procession des offrandes. Outre le pain et le vin, des objets symboliques témoignent de nos misères: du matériel de soin, un tablier blanc, une béquille et la pyxide du visiteur de malades.

Le diacre Jean-Paul Noël, membre de l’équipe des visiteurs de malades d’Athus, donne le départ de la procession des offrandes. Outre le pain et le vin, des objets symboliques témoignent de nos misères: du matériel de soin, un tablier blanc, une béquille et la pyxide du visiteur de malades.

Mgr Vancottem partage le signe de paix avec ceux qui ont rejoint les Sanctuaires. L’abbé Paul Malherbe est dans l’assemblée de ce mardi après-midi. Mgr Vancottem partage le signe de paix avec ceux qui ont rejoint les Sanctuaires. L’abbé Paul Malherbe est dans l’assemblée de ce mardi après-midi.

Mgr Vancottem partage le signe de paix avec ceux qui ont rejoint les Sanctuaires. L’abbé Paul Malherbe est dans l’assemblée de ce mardi après-midi.

Lors de chacune des deux journées, le jubilé se termine par un temps de prière à l’aubépine. Près de 500 personnes, venues des quatre coins du diocèse, se sont retrouvées, à un moment ou à un autre, afin de se ressourcer à la miséricorde divine, sous le regard de Notre-Dame. Lors de chacune des deux journées, le jubilé se termine par un temps de prière à l’aubépine. Près de 500 personnes, venues des quatre coins du diocèse, se sont retrouvées, à un moment ou à un autre, afin de se ressourcer à la miséricorde divine, sous le regard de Notre-Dame.

Lors de chacune des deux journées, le jubilé se termine par un temps de prière à l’aubépine. Près de 500 personnes, venues des quatre coins du diocèse, se sont retrouvées, à un moment ou à un autre, afin de se ressourcer à la miséricorde divine, sous le regard de Notre-Dame.

C’est pour répondre à l’appel du pape François à vivre une Année sainte de la miséricorde, que la Pastorale de la santé du diocèse a organisé à Beauraing ces deux journées spécialement destinées au monde de la santé.
En deux jours, près de 500 personnes, venues des quatre coins du diocèse, se sont retrouvées, à un moment ou à un autre, afin de se ressourcer à la miséricorde divine, sous le regard bienveillant de la Vierge au Cœur d’or. Le même programme était proposé lors de chacune de ces deux journées. En matinée, que ce soit mardi ou mercredi, les participants étaient invités à passer la Porte sainte de la basilique avant de vivre un chemin de croix pénitentiel. Dans l’après-midi, les pèlerins venant des maisons de repos ont rejoint les participants du matin pour une conférence de l’abbé Christophe Rouard et l’eucharistie présidée par Mgr Vancottem. Une célébration au cours de laquelle celles et ceux qui le souhaitaient ont pu recevoir l’onction des malades.

Dix stations, dix méditations
Un des temps forts du programme était sans doute le chemin de croix du matin. Un chemin de croix composé de dix stations, chacune préparée par un groupe différent du monde de la santé. L’équipe d’aumônerie de Mont-Godinne avait répondu à l’appel, de même que celles de Saint-Martin à Dave, de l’hôpital Princesse Paola à Marche, de la maison de repos ''La Méridienne'' de Meux ou encore de l’hôpital de Virton. Présents également: la Pastorale de la santé, les visiteurs de malades de Bastogne et d’Athus, la Pastorale des personnes vivant avec un handicap et l’équipe de Foi et Lumière.
Beaucoup d’émotion et de profondeur au cours de ces méditations, enracinées dans le vécu des gens. Certains textes ont mis en avant la peur des patients devant une possible déchéance. ''Pourquoi te caches-tu Seigneur dans la nuit?... alors que tu es là.'' Les aumôniers de l’hôpital Princesse Paola de Marche ont rappelé que la souffrance n’était pas un but en soi: ''Porter sa croix n’est pas une injonction à souffrir pour souffrir''. Ceux de l’hôpital de Virton ont évoqué les peines, bien réelles, rencontrées au quotidien, de même que les joies quand survient la guérison.
La dernière station était remplie d’espérance: ''Au matin de Pâques, Jésus apparaît à Marie de Magdala''. Et les premières paroles du Ressuscité sont alors: ''Pourquoi pleures-tu?'' Ces paroles nous rejoignent, nous aussi.

Marie, Mère de miséricorde
En début d’après-midi, l’abbé Christophe Rouard, vice-recteur des Sanctuaires, a pris la parole pour un enseignement sur le thème ''Marie, Mère de miséricorde à Beauraing''. A Beauraing, Marie montre combien elle est proche des malades. Elle réconforte, à l’image des visiteurs. Elle soulage, comme les infirmiers et les médecins...
Par l’intercession de Marie, c’est Dieu qui intervient. La plupart du temps, il agit par l’intermédiaire des personnes qu’il met sur notre route. Il oriente vers le bon traitement, il intervient pour faciliter un don d’organe. Parfois aussi, il se manifeste par une guérison ''miraculeuse''. Les témoignages en ce sens existent. Et l’abbé Rouard de citer le cas de ce mourant, atteint d’un cancer en phase terminale, guéri suite à la prière de son épouse à Notre-Dame de Beauraing. ''Aucun des médecins n’a compris ce qui s’est passé''.
L’après-midi s’est poursuivi par la messe présidée par Mgr Vancottem. Avec leur évêque, les prêtres présents ont célébré le sacrement des malades. Chacune des deux journées s’est clôturée par un temps de prière à l’aubépine.
A.S.


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