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Quelques moments de notre vie pastorale, de notre vie spirituelle, de notre vivre ensemble, au fil du temps, dans le cours des saisons et des événements!

 

 

 

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25/11/2016
CLÔTURE DE L'ANNÉE SAINTE !
« La porte de l’Année Sainte a été refermée. Celle de la miséricorde demeure ouverte ». Cette parole du pape François exprime clairement que le chemin de la miséricorde est une mission de tous les jours.
La clôture de l’année sainte ne signifie pas que le bout du chemin est atteint. Au contraire, pour assurer un meilleur ‘vivre ensemble’ dans la miséricorde, l’itinéraire est encore et toujours à suivre.
Comme dans toute l’Eglise, la célébration de l’Année Sainte à La Roche a commencé le 8 décembre 2015 pour s’achever ce dimanche 20 novembre 2016. Les moments forts furent rappelés lors de cette dernière journée inoubliable.

L’eucharistie qui a rassemblé les paroisses du doyenné était très belle et très participative. Elle rappelait tout ce qui avait été entrepris dans les trois secteurs pour bien vivre l’appel à la miséricorde. Plusieurs symboles évoquant la faim et la soif, la pauvreté et la justice, les malades et les prisonniers, étaient mis en évidence. Ils ciblaient les domaines où la miséricorde peut s’exercer en référence à cette parole de Jésus : « Ce que vous avez fait aux plus petits d’entre les miens, c’est à moi que vous l’avez fait ».

Après une pause de midi pour se sustenter tout en échangeant ses impressions, l’après-midi a débuté par un concert à trois guitares interprété par de jeunes talents de l’IMEP. Ce récital de musique japonaise était une évasion méditative assez originale faisant transition avec la matinée.

Le clou de la journée fut l’arrivée un peu tardive de Pie Tshibanda, ‘le fou noir au pays des blancs ‘ tel qu’il s’identifiait. Son entrée en scène laissait augurer des éclats de rire nombreux ; ce fut le cas. Avec maîtrise, il n’a cessé de s’amuser gentiment de nos contradictions. Que du bonheur à l’entendre se moquer gentiment des blancs, si prompts à relever les habitudes africaines par rapport à leurs propres comportements. ‘Vous vous plaigniez que nous, les africains, nous ne sommes jamais à l’heure… et vos trains alors !!! Et tout était de la même veine. De quoi faire réfléchir à des questions de société importantes et relativiser le regard porté sur les étrangers… Ce fut une réussite incontestable tant c’était « tapé juste » comme on dit chez nous. Il y avait de quoi être comblés par cette journée au programme copieux mais, oh combien, réjouissant.
R.M.

Souvenirs de cette belle journée ICI !
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